Foto © Stephane Ait Quarab
“Aarset’s musical awakening happened when, at the age of 12, he heard Jimi Hendrix. “I started on the guitar as soon as I heard him,” he recalls with a smile. “I bought a second hand Hendrix record and that was it. Then I started getting into rock bands like Deep Purple, Black Sabbath, Santana and Pink Floyd before my brother introduced me to the music of Miles Davis, the Mahavishnu Orchestra, Weather Report and Return to Forever. After a while, I got into the ECM sound of Jan Garbarek, and Terje Rypdal, who was a big influence. Then I went on the road with a fulltime heavy metal band, a fantastic experience, until I got tired of being angry every night! Then I quit and became a session musician.” – From Facebook
Explorateur de textures sonores plutôt que de mélodies traditionnelles, Eivind Aarset repense le rôle de la guitare électrique dans le jazz. Son premier album solo, sorti en 1998, est décrit par le New York Times comme l’un des meilleurs albums de jazz électrique de l’ère post-Miles Davis. Comme beaucoup, c’est en écoutant Jimi Hendrix qu’il achète sa première guitare à l’âge de 12 ans. Il découvre ensuite le jazz à travers Miles Davis, le Mahavishnu Orchestra et Weather Report et collabore comme musicien de studio avec Ray Charles, Dee Dee Bridgewater ou Jan Garbarek. Son dernier album, I.E., mêle riffs chirurgicaux et onirisme électronique dans un style nu jazz audacieux. Venu au Festival trois fois avec le trompettiste Nils Petter Molvaer, le guitariste se produira en solo, sur la même scène que le tunisien Dhafer Youssef. Les deux musiciens se connaissent par cœur, ayant collaboré sur scène et en studio à de nombreuses occasions…
